Crédit photo : Port de Papeete.
PAPEETE, jeudi 1er août 2013 – Le mouvement de grève engagé à compter de jeudi 0 heure sur le Port de Papeete, à l'appel de la centrale syndicale CSTO/FO est suivi par 15 employés dont 14 des 20 agents du service de police portuaire et un opérateur de vigie. "Il n'y a aucune perturbation du service, pas de soucis", affirme Mario Banner, le directeur général de l'établissement public.
Le mouvement de grève est suivi par moins de la moitié des employés affiliés à la CSTP/FO, selon un comptage effectué par l'établissement en début de matinée, non confirmé par la centrale syndicale.
Les négociations entre la direction du Port Autonome et le syndicat CSTP/FO ont été interrompues à quelques heures de l'échéance du préavis de grève générale signifié le 26 juillet dernier par la centrale syndicale et alors qu'un dernier rendez-vous de conciliation était prévu mercredi à 18 heures.
"Patrick Galenon a posé comme condition sine qua none à la reprise des négociations que je revienne sur des décisions de sanctions", ajoute Mario Banner évoquant le licenciement d'un agent de la police portuaire pour faute grave et la mise à pied d'un second agent, pendant huit jours. "Il est hors de question que je revienne sur ces décisions", affirme-t-il fermement. "Je vous rappelle que le policier licencié a été interpellé par les gendarmes dans le cadre d'une affaire de stupéfiants : il ne faut pas pousser grand-mère dans les orties !".
La direction du port a en outre déposé une plainte contre Patrick Galenon à la suite de l'interview accordée par le syndicaliste au quotidien Les Nouvelles de Tahiti, publiée mardi 30 juillet. Des propos jugés "calomnieux et injurieux", par Mario Banner, dans un communiqué transmis mercredi 31.
> Lire aussi : Conflit au Port : Mario Banner dénonce “les propos injurieux” de Patrick Galenon
Le mouvement de grève est suivi par moins de la moitié des employés affiliés à la CSTP/FO, selon un comptage effectué par l'établissement en début de matinée, non confirmé par la centrale syndicale.
Les négociations entre la direction du Port Autonome et le syndicat CSTP/FO ont été interrompues à quelques heures de l'échéance du préavis de grève générale signifié le 26 juillet dernier par la centrale syndicale et alors qu'un dernier rendez-vous de conciliation était prévu mercredi à 18 heures.
"Patrick Galenon a posé comme condition sine qua none à la reprise des négociations que je revienne sur des décisions de sanctions", ajoute Mario Banner évoquant le licenciement d'un agent de la police portuaire pour faute grave et la mise à pied d'un second agent, pendant huit jours. "Il est hors de question que je revienne sur ces décisions", affirme-t-il fermement. "Je vous rappelle que le policier licencié a été interpellé par les gendarmes dans le cadre d'une affaire de stupéfiants : il ne faut pas pousser grand-mère dans les orties !".
La direction du port a en outre déposé une plainte contre Patrick Galenon à la suite de l'interview accordée par le syndicaliste au quotidien Les Nouvelles de Tahiti, publiée mardi 30 juillet. Des propos jugés "calomnieux et injurieux", par Mario Banner, dans un communiqué transmis mercredi 31.
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